D’un « coronavirus » au « tomatovirus » …

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On n’a pas fini d’en faire le tour, sans oublier les retours !

En bref, les virus, c’est une des hypothèses, auraient joué des rôles clefs très tôt dans l’histoire évolutive du vivant et aussi qu’ils jouent un rôle important dans les corps des humains. Selon le chercheur Clément Gilbert, le corps d’un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus, pour la plupart des bactériophages infectant les bactéries présentes dans le tractus intestinal et sur les muqueuses. L’impact de ces virus n’est pas encore complètement compris, mais on peut déjà parier qu’ils jouent un rôle important dans la régulation de la composition des communautés bactériennes vivant en symbiose avec l’homme60.

Et enfin, les virus forment un réservoir presque infini de gènes et certains pensent que ce réservoir a constitué et constitue toujours une source majeure de nouveauté génétique sans laquelle les formes de vie telles qu’on les connaît aujourd’hui (y compris notre propre espèce) n’auraient jamais existé. Mais, surtout, que le réchauffement climatique « libérerait » dans le permafrost ou pergélisol encore plus de virus … inconnus ! Revenons à l’actualité …. Une histoire presque banale ou quand les cultures industrielles deviennent sensibles aux virus. Cette fois-ci, ce sont les tomates, éventuellement poivrons et aubergines aussi, qui sont en danger, menacées par un virus provenant des serres de culture intensive du moyen-orient ! Et l’essaimage de plants de tomates tout azimut, cela ne devrait pas tarder et n’aide pas à l’affaire !

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